Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family: »Times New Roman »;
mso-fareast-theme-font:minor-fareast;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;}

«Services à la personne : un essor lié aux nouvelles technologies»

Par Patrick Roux, chargé de mission sur les services à la personne à la DGE

Le développement des services à la
personne passe par une modernisation des offres fondée sur le recours aux
nouvelles technologies.

Estimé environ
à 15 Md€, le marché des services à la personne constitue une activité récente
pour les entreprises, puisqu’elles enregistrent une ancienneté moyenne
inférieure à quatre ans. Les particuliers employeurs représentent 80% de ce
chiffre d’affaires, le reste étant réalisé par environ 5 000 sociétés et de
nombreuses associations. Le nouveau régime de l’auto-entrepreneur devrait
faciliter le développement de ce secteur.


Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family: »Times New Roman »;
mso-fareast-theme-font:minor-fareast;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;}

Parmi les services utilisés,
l’entretien de la maison et le ménage viennent très largement en tête (41 %),
loin devant le jardinage (15 %), la garde d’enfant à domicile (12 %) et
l’assistance informatique (8 %).

Les services à la personne qui emploient au total 1,9 millions de salariés
(soit 840 000 salariés temps plein), ont permis de créer, depuis 2006, 236 000
emplois soit environ 80 000 équivalents temps plein. Leur potentiel de
développement reste important même s’ils connaissent déjà une croissance
annuelle de l’ordre de 10 %. Leur développement passe, en particulier, par une
modernisation des offres, fondée sur l’utilisation des nouvelles technologies. Le
recours aux techniques de communication modernes permet de réaliser des
économies d’échelle, de faire preuve de réactivité en établissant une liaison
continue entre le client, l’intervenant à domicile, la plate-forme d’appel et
l’entreprise se chargeant de la gestion administrative. Cette approche favorise
l’émergence d’une nouvelle économie, associant les services et les biens, à des
coûts maîtrisés et permettant d’accompagner les personnes tout au long de leur
vie. C’est la raison pour laquelle la DGE et l’Agence nationale des services à
la personne (ANSP) ont lancé en février 2008, un appel à projets qui a permis
de recueillir environ 180 candidatures. Une vingtaine ont été présélectionnées
et une quinzaine de projets d’ores et déjà retenus. Parmi ces projets, une
application permettant à l’intervenant d’envoyer des mini-formulaires sur son
activité via un téléphone mobile : heure d’arrivée ou de départ, type
d’activités réalisées etc. Un autre, fondé sur l’utilisation d’un « organizer électronique » (PDA), permet de transmettre des informations plus
élaborées, du type choix d’un repas ou déclaration d’incident. D’autres projets
proposent aux seniors un bouquet de services via la télévision ou encore la
gestion des files d’attente pour les systèmes utilisant la visiophonie. Des
projets qui préfigurent ce que seront les services à la personne de demain :
des prestations requérant de la main d’œuvre, certes, mais aussi des systèmes
perfectionnés permettant de rendre un service de grande qualité.


www.servicesalapersonne.gouv.fr/
patrick.roux@finances.gouv.fr