Le travail éducatif est un travail difficile, nous le savons, au point d’ailleurs qu’il constituerait, avec l’art de gouverner et celui de soigner, l’un de ces trois « métiers impossibles » qu’évoquait Freud en 1925, dans sa préface au livre du grand éducateur formé à la psychanalyse que fut August Aichhorn, Jeunesse à l’abandon.
Est-ce à dire pour autant que l’on ne peut rien faire ?
Assurément non, répond avec force Chateau Joly au travail.
Ce document témoigne en effet de cet effort permanent que l’ensemble des différentes équipes de cette Maison d’enfants à caractère social normande a su déployer dans la mise en place d’une dynamique institutionnelle donnant aux enfants meurtris qu’elle accueille la possibilité de se construire et de s’inscrire, hommes parmi les hommes, au sein même du corps social.
Cette dynamique est la résultante d’une élaboration continue de la pratique menée par les différents acteurs de la vie institutionnelle, dont on trouvera ci-dessous, à la suite de l’exposé des fondements de l’institution, les réflexions collectives appuyées sur le vif de l’accompagnement au quotidien.
Ce pourquoi, en offrant au public le témoignage d’une pratique professionnelle en mouvement, menée sur une dizaine d’années, Chateau Joly entend ne pas déroger à sa vocation éducative, celle de la transmission.
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