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Je suis « chagriné [1] »
Qualité de l’emploi et hétérogénéité dans le champ des services à la
personne[2].
J’ai lu avec beaucoup d’intérêt l’article en référence.
Je suis un peu « chagriné » par le contenu du document de travail
n°4, février 2010, réalisé par Marion Lefebvre, Doctorante au CLERSE et à
l’ORSEU.
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Je suis « chagriné » parce que les termes employés par Marion
Lefebvre disent les professions de service à la personne comme celles des
ateliers de production.
La matière des services à la personne c’est la personne, un être humain,
celui que nous avons été, celui que, peut-être, nous serons.
Marion Lefebvre écrit que deux professions constituent le cœur des services
à la personne : employée de maison et aide à domicile.
Mais lorsque je consulte les « formations offertes » (sauf erreur
de ma part) je lis : « plan de formation à l’initiative de
l’employeur : l’employeur peut mettre en œuvre
jusqu’à 40 heures de formation par an et par salarié et ce quel que soit le
temps de travail du contrat » Apege Association de Parents Employeurs
de Garde d’Enfants.
Ce qui me « chagrine » après lecture complémentaire sur le site
« Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction
publique », c’est que les conditions imposées pour la formation de
« professionnelles[3][3] employées de maison et aides à
domicile » ne permettent aucune comparaison avec les professions telles
que menuisier, chauffeur de taxi, coiffeuse…, pour lesquelles il est exigé 3, 4
ans et plus de formation professionnelle.
Je me pose deux questions :
1 – ou les personnes voulant faire profession de service à la personne sont
particulièrement douées et apprennent en peu de temps ? Et je vous laisse
tout loisir de les comparer aux autres types de professionnels.
2 – ou, pour se consacrer au service à la personne, il n’est pas besoin de
savoir grand chose, peut-être à peine le minimum pour dire
« oui Madame ou oui Monsieur »?
Une « personne aidée » qu’elle soit jeune, vieillissante, malade,
handicapée, vaudrait-elle moins de respect, de considération humaine qu’un
morceau de bois, qu’une mèche de cheveux ?
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Nous voulons que nos enfants soient « gardés », que nos parents
soient « aidés ou accompagnés » par des professionnelles compétentes,
mais il semble que nous ayons du mal à admettre que celles-ci[4][4]
aient besoin de formation, d’une vraie reconnaissance de leur profession, d’un
salaire décent, de conditions de travail valorisantes.
Serions-nous dans une société où l’avenir de nos enfants, le mieux vivre de
nos aînés, celui des personnes handicapées ou malades, soient moins conséquents
que le travail que nous demande notre propre employeur ?
Si nous voulons une société du mieux vivre ensemble, les
professionnels, quel que soit leur secteur d’activité, doivent pouvoir
prétendre à une formation de qualité, qui leur donne de la dignité à l’emploi.
Lorsque je lis « l’un des trois grands objectifs du plan 2 des
services à la personne, lancé en 2009 s’intitule « professionnaliser le
secteur et améliorer la qualité des emplois » je suis très heureux.
Je le suis beaucoup moins car je n’ai pas trouvé de preuve tangible de
changement auprès des « professionnelles des services à la personne »
contactées ces derniers jours.
Je suis d’autant plus « chagriné » que je consacre ma retraite à
finaliser mes recherches sur « la retraite et le vieillissement » par
un réel apprentissage, pour une nouvelle carrière choisie, de retraité professionnel.
Je défends l’idée que les retraités ne peuvent plus être, parfois à 55 ans,
remisés à « s’occuper ».
Vingt, trente ans et plus en situation de retraite c’est la vie qui
continue « dans et avec » la société.
Valoriser l’apprentissage professionnel tout au long de la vie c’est
développer les passions, les envies, les qualités humaines, les seules capables
de créer, d’innover, d’imaginer…, par le travail choisi, accepté, valorisant,
la dignité et le plaisir du vivre ensemble.
Toute profession mérite une vraie formation reconnue. Mais celles ayant
pour « matière première » la relation aux personnes, doivent être
particulièrement réfléchies.
Nous évoluons dans une société où la consommation marque « le train de
vie ».
Nous ne pouvons pas y inclure les relations humaines.
Les multiples professions sont comme les milliards de petites cellules qui
constituent notre vie. Sans elles les sociétés ne seraient pas. Mais il en est
qui sont plus sensibles que d’autres. Pensons-y !
C’est en développant l’intérêt de l’exercice d’une profession aimée,
comprise, reconnue, que nous créerons des emplois. Et ceux relatifs à la
personne sont les plus essentiels, les plus nombreux à développer certainement
si nous voulons un monde meilleur.
Pierre Caro
retraité
chercheur autodidacte – mentor : retraite et vieillissement
44530 Saint Gildas des Bois
tél : 02 28 54 94 76 – courriel: pierre.caro@neuf.fr
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[1][1] ,
plus que chagriné, inquiet, triste…., mais il fait un premier mot pour
commencer un échange…
[2][2]
08 /04/2010 Marion Lefebvre Alternatives Economiques
[3][3] le plus souvent il y a
discrimination, le masculin est très peu employé.
[4][4] Nous
trouvons pratiquement que l’emploi au féminin.
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