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SURDITÉS,
par Jean Carette
Nous sortons de la crise, paraît-il, lentement mais
réellement. En fait, il s’agit seulement de «la» crise économique et
financière. Ouf! On a sauvé le capital et le capitalisme, en surendettant les
générations futures, et tout peut reprendre comme avant : la spéculation
éhontée, fricotages et autres traficotages, les manipulations des banques et la
gestion sauvage des plus grandes compagnies supranationales, les délits
d’initiés et autres crapuleries, sans oublier le gaspillage forcené de la
terre-mère…
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Je crois plutôt que le néolibéralisme a vécu ses
«quarante glorieuses» (1970-2010) et montré clairement ses excès et ses
limites. Je crois aussi que la tempête n’est pas terminée et de loin, car nous
vivons et subissons bien plus qu’une dépression économique. Il s’agit aussi
d’une crise politique qui affecte et menace la démocratie (voir par exemple le
ballet incessant des mots, des promesses ou des mensonges et la montée de
l’abstentionnisme), d’une crise morale (voir par exemple la violence systémique
et la corruption), d’une crise de civilisation, à la fois sociale et
culturelle, qui remet en cause nos valeurs dominantes, la compétition par
exemple, nos orientations et nos priorités collectives.
Par
l’histoire qu’ils ont traversée, les plus âgés d’entre nous sont des experts en
crises. Ce qui pourrait être utile à tous, mais à deux conditions : d’une part
qu’ils prennent la parole, davantage et mieux, et chacun à sa place au sein du
concert des générations; d’autre part, qu’on les écoute…
Pour lire la
suite : http://www.espaces50plusmontreal.com/20100501.htm
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