Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-language:EN-US;}

ADMR 29. Le parquet va demander une enquête

extrait d’un article de www.letelegramme.com

v:* {behavior:url(#default#VML);}
o:* {behavior:url(#default#VML);}
w:* {behavior:url(#default#VML);}
.shape {behavior:url(#default#VML);}


Normal
0
false
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-language:EN-US;}

Sans
surprise,le tribunal de grande instance de Brest a, hier, constaté l’échec de
la procédure de sauvegarde ouverte le 7 décembre 2009 au bénéfice de la
fédération ADMR. Le parquet, lui, va demander une enquête.

La
vice-procureur Jouhanny, en charge du dossier de l’Aide à domicile en milieu
rural du Finistère, n’y va pas par quatre chemins et pointe les
dysfonctionnements d’un an de procédure de sauvegarde stérile. «Le plan de
licenciements, énorme (NDLR, 86 salariés, et 34 reclassements) car il concerne
plus de la moitié de l’effectif, n’est pas abouti.

La situation financière est
confuse. Socialement, la situation est extrêmement difficile. On ne peut pas
accepter un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) de cette nature. Pour cela, il
faut un minimum de bonne foi, un minimum de bonne volonté. Par exemple, nous
n’avons jamais eu le mode de calcul de la péréquation demandé, pourtant, tout
au début. Nous sommes dans l’opacité la plus totale. On nous raconte n’importe
quoi, à commencer par l’avocat de la fédération (NDLR, MeNovel est aussi celui
de l’Union nationale). Cette histoire ne va pas se finir chez nous. Ça va se
finir à Paris et certains ont du souci à se faire. Nous allons demander une
enquête. Et nous verrons jusqu’où nous pourrons aller».


Pour lire la suite cliquez ICI