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Hébergement des
personnes âgées : une coopération entre la France et la Belgique
Environ 6 500
personnes handicapées et environ 1600 personnes âgées françaises seraient
aujourd’hui accueillies dans les établissements belges.
Les raisons qui
conduisent les familles françaises à recourir à cette solution sont plus
complexes qu’il y paraît.
D’une part, la
tradition d’accueil par les Belges de personnes âgées et handicapées françaises
est ancienne, tout particulièrement en Wallonie. Elle s’explique,
naturellement, par la proximité géographique et linguistique des deux pays, qui
permet aux familles de trouver des solutions près de chez elles. Par ailleurs,
certaines familles Françaises préfèrent les méthodes de prises en charge
existantes en Belgique. C’est le cas notamment de certaines familles concernées
par l’autisme.
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Enfin, certaines
familles ne trouvent pas de place en France et sont obligées de trouver des
solutions ailleurs.
Sans minimiser les
responsabilités de l’Etat français dans la carence relative de l’offre de prise
en charge, le gouvernement français a voulu s’appuyer sur un tableau exact de
la situation.
C’est la raison
pour laquelle, le 5 février 2008, Valérie Létard a demandé à Mme Gallez,
députée du Nord, de mener un travail sur l’ampleur et les raisons des
placements en Belgique.
L’objectif de cette mission était triple :
- Mesurer l’ampleur des efforts à
accomplir en France pour développer une offre de places suffisante ; - S’inspirer des bonnes pratiques
en Belgique pour améliorer qualitativement nos propres prises en
charge ; - Enfin, mettre en place les
conditions d’un véritable libre choix pour nos concitoyens. Car il n’est
bien sûr pas question de contraindre des familles à renoncer à l’accueil
en Belgique quand il s’agit d’un choix qui leur donne satisfaction.
Les propositions de
Cécile Gallez s’articulent autour de 4 priorités que les pouvoirs publics
français et belges partagent :
- Mieux connaître les personnes
accueillies en Belgique ; - Garantir le libre choix d’une
prise en charge de qualité ; - Faciliter la vie des personnes
qui, par choix ou – pour l’instant – par défaut, sont accueillis en
Belgique ; - Renforcer et améliorer l’offre
de prise en charge en France.
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