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Qui va nous soigner quand on sera vieux ?

Les syndicats de médecins libéraux et le Conseil
national de l’Ordre des médecins (CNOM) ont (malheureusement) été des
cassandres bien inspirées lorsqu’ils dénonçaient ces dernières années le risque
d’une diminution du nombre de praticiens en France en raison notamment de la
politique drastique du numerus clausus dans les années 80 et 90, trop
faiblement ajustée depuis le nouveau millénaire. Jusqu’ici tout allait bien,
mais la diminution de la densité des médecins dans notre pays commence en effet
aujourd’hui. Dans son « Atlas de la démographie médicale » publiée, il y a
quinze jours, le CNOM révèle ainsi qu’elle est passée de 340,4 praticiens pour
100 000 habitants l’année dernière à 322,4/100 000 au 1er janvier 2008. Ce
premier avertissement est conforté par de nombreux autres indices énumérés par
le CNOM.


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Vieux médecins cherchent
remplacement au soleil

Ainsi, la seule confrontation entre la proportion de
praticiens ayant pris leur retraite en 2007 et la progression des nouveaux
inscrits à l’ordre médecins en activité témoigne que les temps pléthoriques
sont derrière nous : 3,4 % de départ à la retraite ont été enregistrés, tandis
que le nombre de nouveaux inscrits n’augmentait parallèlement que de 1,2 %.
Pour rééquilibrer cette balance inquiétante, (après avoir encouragé les départs
à la retraite anticipés !), les pouvoirs publics ont adopté un dispositif qui
permet aux praticiens retraités de poursuivre leur activité. Ce système devait
également permettre de remédier aux disparités territoriales. Las, non
seulement continuer à travailler ne séduit que 8,6 % des retraités mais ces
derniers jouent prioritairement les prolongations en Ile de France et sur les
rives de la méditerranée. Ce phénomène est résumé en une phrase lapidaire par
le Conseil de l’Ordre : « Ce n’est pas à la retraite qu’un médecin va aller
s’installer ou remplacer à Brinon sur Beuvron
».

[…]

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