Une convention Etat, CNSA et ADMR


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Valérie Létard, secrétaire d’Etat à la Solidarité a signé mercredi
19 novembre une convention de partenariat avec Michel Tanfin, président de
l’Union nationale ADMR, en présence de Jean-Jacques Trégoat, directeur de la
DGAS (direction générale de l’action sociale) et Laurent Vachey, directeur
général de la CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie).


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Cette convention s’inscrit dans le cadre des objectifs du plan des
métiers au service des personnes handicapées et des personnes âgées dépendantes
lancé par Valérie Létard en février dernier.

Elle vient soutenir la démarche de structuration de l’ADMR –
l’Association du service à domicile – au moment où cet important réseau, créé
en 1945, vient de se doter d’un plan pluriannuel pour faire face au
développement croissant de son activité.

En effet, l’ADMR qui regroupe 3 250 associations implantées dans
toute la France, 90 000 salariés, 110 000 bénévoles et gère 45% de l’activité
prestataire en France, réalise 90 millions d’heures d’intervention à domicile
auprès de 585 000 personnes.

Cette convention signée entre l’Etat, la CNSA et l’Union nationale
ADMR se décline en trois programmes d’accompagnement thématique.

Le premier va permettre à l’ADMR d’accélérer l’accompagnement de
son réseau dans la démarche qualité afin d’amener, d’ici 2011, 80% de ses
associations à la certification AFNOR « services aux personnes à
domicile ».

Le second vise le déploiement de la gestion prévisionnelle des
emplois et des compétences (GPEC). Avec 22,6% de salariés qualifiés, un taux en
nette progression, l’ADMR entend poursuivre ses efforts pour adapter les
qualifications de ses personnels d’intervention aux besoins des personnes, mais
aussi anticiper les nouveaux métiers du secteur. Cela passe par une
connaissance plus fine des personnels en fonction, des besoins à venir et une
meilleure approche démographique des territoires, sans oublier l’adaptation et
la diffusion d’outils aux associations employeurs pour mieux gérer leurs
ressources humaines.

Enfin, un troisième volet en cours de concertation avec les
signataires de cette convention porte sur la modernisation des structures de
l’ADMR avec un projet de mise en place d’un système national d’informations
commun à tout le réseau ADMR et compatible avec les autres acteurs du secteur.
Un dispositif qui permettra de mieux connaître les attentes des personnes et
donc de mieux les servir.

L’ADMR en signant cette convention, s’engage à apporter sa
contribution pour la modernisation de ses services, une condition nécessaire et
indispensable pour continuer à proposer une offre de service répondant toujours
mieux aux personnes en perte d’autonomie. Cette convention repose sur un
financement de 4,3 millions d’euros, dont 952.000 euros proviennent de la CNSA,
1,98 de l’ADMR et 1,3 millions d’euros sont mobilisables via l’ANSP (agence
nationale des services à la personne).