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Le bonheur des sexagénaires, au
risque de l’"inéquité"

Les sexagénaires seraient-ils les bienheureux de notre société ? Une étude
récemment publiée par l’Insee pourrait le laisser croire : après avoir analysé
les enquêtes Eurobaromètre depuis 1975, Cédric Afsa et Vincent Marcus
constatent qu’en France, la courbe du bonheur atteint son zénith entre 65 et 70
ans. "Le sentiment de bien-être commence par décliner jusqu’à la
quarantaine environ pour amorcer ensuite une nette remontée conduisant à son
apogée au cours de la soixantaine"
, résument-ils.

source : Le Monde


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Cette
courbe ne semble pas affectée par le contexte historique : elle adopte la même
allure pour toutes les classes d’âge, qu’elles aient grandi pendant les trente
glorieuses ou lors de la crise pétrolière des années 1970. "Il ne
semble pas y avoir d’effet de génération marqué"
, constate l’Insee.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le bien-être semble en outre peu
influencé par la situation conjugale ou le niveau de revenus, comme si l’âge
suffisait à garantir une certaine sérénité face aux vicissitudes de la vie.

Quelques
jours plus tard, le Conseil des prélèvements obligatoires, présidé par Philippe
Séguin, constatait, lui aussi, que les générations les plus âgées jouissaient
d’un statut – objectivement cette fois – favorable. "Le niveau de
patrimoine des plus de 50 ans excède de plus de 50 % le patrimoine moyen, leur
revenu disponible net excède de plus de 15 % le revenu moyen"
,
constatait le rapport.

En
novembre, le portrait social de l’Insee arrivait aux mêmes conclusions : grâce
aux revenus du patrimoine, le niveau de vie moyen des retraités est aujourd’hui
proche de celui des actifs.

L’aisance
des personnes âgées est renforcée par le système des prélèvements obligatoires
français. "Ils opèrent un transfert instantané en faveur des plus de 60
ans"
, constate le Conseil. Ce phénomène s’explique par deux raisons :
les prélèvements sur la consommation avantagent les plus de 65 ans, qui
achètent souvent des produits faiblement taxés, comme les médicaments ou les
livres ; et le taux d’imposition sur le revenu est moins élevé dans cette
classe d’âge, notamment en raison de la faiblesse de la CSG sur les pensions de
retraite.

[…]

Suite et source

Anne Chemin

Article paru dans l’édition du 30.11.08