Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family: »Times New Roman »;
mso-fareast-theme-font:minor-fareast;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;}



Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family: »Times New Roman »;
mso-fareast-theme-font:minor-fareast;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;}

Réaction
d’UNA à la publication du rapport IGAS sur la tarification et la
solvabilisation des services d’aide à domicile.

Un
constat pertinent, des pistes de réformes insuffisantes, voire contestables.

Ce
rapport confirme l’existence des difficultés réelles et conforte l’analyse d’un
système de financement à bout de souffle. Il fait ressortir les facteurs
déterminants des coûts et en particulier le poids prépondérant des frais en
personnel.


Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-qformat:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-font-family: »Times New Roman »;
mso-fareast-theme-font:minor-fareast;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;}

Il
illustre l’absence totale de régulation des systèmes et procédures de
tarification de la part de l’Etat. Il met également en avant la nécessité d’une
réforme en profondeur, ce que UNA et le collectif des 16 réclament depuis
décembre 2009. Il indique des pistes d’amélioration auxquelles UNA souscrit
d’autant plus qu’elles correspondant pour une large part au programme de
modernisation du réseau UNA soutenu par la CNSA et l’Etat.

UNA
s’étonne et conteste deux orientations particulières :

1)
L’assimilation des interventions auprès des personnes classées en GIR 4, 5 et 6
(personnes les moins dépendantes) à des « heures de ménage » pudiquement
appelés « aide à l’environnement » et qui d’après le rapport ne requirent pas
de qualification aussi spécifique, alors qu’il est rappelé par ailleurs que le
DEAVS est un diplôme classé au niveau V, soit le plus petit niveau existant
(CAP, BEP). Il s’agit là, d’une simplification abusive, qui montre une fois de
plus, la faiblesse de la grille AGGIR.

2)
UNA affirme son opposition au schéma proposé qui consisterait à réserver le
mode prestataire avec personnel qualifié aux interventions auprès des personnes
classées en GIR 1 et 2 ( les plus dépendantes) et à généraliser pour les
personnes classées en GIR 3, 4, 5 et 6, le mode d’intervention mandataire.

Les
séparations sont totalement artificielles et ne tiennent absolument pas compte
de l’individualisation nécessaire des plans d’aide et de leur adaptation à des
situations extrêmement diversifiées.

Cette
orientation casserait toute la logique de la professionnalisation menée depuis
10 ans, développerait la précarité des emplois et mettrait en cause l’existence
même de la branche professionnelle de l’aide, des soins et des services à
domicile. De toute évidence le rapport n’a pas mesuré les conséquences de
l’impact de ces propositions.

Si
UNA se réjouit de voir enfin des éléments techniques mis sur la table, même si
nous en constatons certains, nous espérons que les discussions entre l’Etat,
l’ADF et le collectif des 16 puissent démarrer très rapidement

Contact
Presse UNA

Eric Bocq – 01 49 23 82 52 – e.bocq@una.fr