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Dépendance:
La piste d’une nouvelle "journée de solidarité"

Extrait d’un article du journal du Dimanche

EXCLUSIF. L’Élysée planche sur une augmentation du
temps de travail pour financer les mesures en faveur des personnes âgées.

Les cantonales passées, les réformes reprennent.
L’Élysée planche activement sur le financement de la dépendance, qui doit être
arbitré d’ici à juin. Parmi les pistes à l’étude, la création d’une nouvelle
"journée de solidarité" figure au premier rang. Les richesses
produites par une journée de labeur supplémentaire seraient affectées aux
personnes âgées. L’entourage du chef de l’État considère que cette mesure
correspond sans faute à la philosophie politique de la majorité: elle repose
sur la valeur travail et n’augmente pas le poids des prélèvements obligatoires
dans le PIB. L’idée n’est pas nouvelle.


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Après le drame de la canicule, en 2003, Jean-Pierre
Raffarin avait supprimé le lundi de Pentecôte férié et instauré une taxe de
0,3% sur les salaires et les revenus de l’épargne, la contribution solidarité
autonomie (CSA). "Nous ferons sans doute une nouvelle journée de
solidarité
", confiait-il y a peu l’ancien Premier ministre au JDD.

Les modalités ne sont pas arrêtées, mais l’Élysée
pencherait pour une solution "à la carte", afin d’éviter
d’interminables débats si le choix portait, par exemple, sur le 11-Novembre ou
tout autre jour férié. L’expérience du lundi de Pentecôte sert et l’Élysée
s’appuie sur le rapport d’évaluation rédigé en 2007 par Éric Besson, alors
secrétaire d’État à la prospective. Après la polémique, ce jour est redevenu
férié, les entreprises déterminant par la négociation comment augmenter le
temps de travail. Il faudra convaincre Roselyne Bachelot. Le cabinet de la
ministre des Solidarités estime qu’une réédition de cette mesure risque d’être
impopulaire.

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