Mes vœux 2012[i] étaient des vœux d’indignation renouvelée. En effet, j’avais pu gagner du temps en recyclant, de façon éhontée, mes vœux de 2011[ii], dans lesquels[iii] je recyclais déjà ceux de 2010[iv] et je m’imaginais, du haut de mes 53 ans, avoir 80 ans, l’âge de mon père :

« Mais parlons un peu de moi, du haut de mes 80 ans…

J’ai eu la malchance de ne pas faire mon AVC avant 60 ans et il faut que je pense à ne pas le faire avant le 1er janvier 2011, car j’aurais alors, en moyenne, 3 fois moins (avec 5 fois moins en montant maximal) d’allocation pour payer mes différentes aides à domicile (différence entre l’Allocation personnalisée d’autonomie [Apa] et la Prestation de compensation du handicap [PCH]) que si ma situation de handicap était survenue avant l’anniversaire de mes soixante ans…

Pourquoi pas avant le 1er janvier 2011 ? C’est la date-limite[v] pour appliquer la convergence entre les champs du handicap et du vieillissement[vi] voulue par le législateur (cf. article 13 de la loi du 11 février 2005[vii])…

Mais j’oubliais que la France avait ratifié (certes en catimini[viii]) la convention internationale relative aux droits des personnes handicapées excluant toute discrimination d’âge pour la reconnaissance du handicap, je pourrais donc faire de suite mon AVC… ».

Mes vœux 2013 étaient des vœux de proposition citoyenne, en imaginant que l’Année européenne des citoyens, de 2013, pourrait être l’occasion d’imaginer une « garantie universelle d’existence solidaire »[ix] :

« Le nom de la mesure me semble important, plutôt qu’une « garantie solidaire universelle d’existence », car chacun doit se sentir solidaire et coresponsable de la société dans laquelle il vit. Cela évitera que cette garantie soit taxée de renforcement de l’assistanat. D’autant que tout le monde, du fait des aléas de la vie, pourrait bénéficier de cette garantie universelle, à des moments où il aurait des incapacités de pouvoir se suffire par lui-même et/ou sa famille ne pourrait pas prendre le relais (ne faudrait-il pas, d’ailleurs, ajouter « responsabilité » aux valeurs républicaines [comme, aussi, « laïcité »], à côté de « liberté », « égalité » et « fraternité » ?).

L’objectif serait que chacun puisse avoir un « filet socio-financier » (qui ne se réduirait donc pas qu’à un filet social ou qu’à un filet financier) lui permettant d’exister dans les différents piliers que constitue son projet de vie, facilitant ainsi son bien-être, son émancipation et sa participation à la vie de la cité, pour le bien de tous… ».

Mes vœux 2014 seront des vœux d’engagement à repenser le contrat social grâce au développement d’une approche multiculturelle du vieillissement…

Pour commencer à concrétiser cet engagement, nous organisons, avec ma nouvelle collaboratrice, Khadija Qesmoun[x], une journée d’étude universitaire sur le thème « Pourrons-nous vivre ensemble à travers nos âges et nos cultures ? Repenser le contrat social », avec le Cirtai[xi] de l’Université du Havre et le Cerss[xii] de l’Université Mohamed V d’Agdal-Rabat, le 24 janvier 2014 à l’Université du Havre.

Des chercheurs, français et marocains, sont invités à échanger autour du niveau nécessaire des politiques publiques pour permettre ce « vivre ensemble à travers nos âges », dans une approche comparative entre les pays du Nord et les pays du Sud, à partir des questions suivantes :

– quel cadre démocratique pour favoriser le « vivre ensemble » ?

– ne faut-il pas un ancrage territorial pour un réel « vivre ensemble » ?

– comment « vivre ensemble » à travers nos différences culturelles ?

– quel rôle de la société civile pour l’existence et le développement de politiques publiques facilitant le « vivre ensemble à travers nos âges » ?

– faut-il un texte contraignant internationalement pour « forcer » les pouvoirs publics à développer ces politiques publiques ?

– quel capital social des retraités dans la vie de la cité ?

En ce début d’année, pour apporter sa pierre à la construction d’une société interculturelle, grâce au prisme du vieillissement qui permettrait le renouvellement du contrat social entre les générations, chacun est invité à participer à cette journée d’étude havraise ! Vous pouvez vous inscrire en renvoyant le formulaire à jean-michel.caudron@orange.fr (cf. note de cadrage et programme de la journée d’étude ci-après).

Gageons, en plagiant Alain Touraine, que 2014 nous permettra de nous rendre compte que nous pourrons vivre ensemble, « égaux et différents »[xiii], à travers nos âges et nos cultures.

Jean-Michel CAUDRON, activiste de la justice sociale et du vivre ensemble, 06.80.96.25.69, jean-michel.caudron@orange.fr

Note de cadrage de la journée d’étude « Pourrons-nous vivre ensemble à travers nos âges et nos cultures ? Repenser le contrat social »

Journée d’étude organisée, les 23 (au soir[xiv]) et 24 (journée[xv]) janvier 2013, à l’Université du Havre, par le Cirtai[xvi] de l’Université du Havre, le Cerss[xvii] de l’Université Mohamed V d’Agdal-Rabat et Ingénierie sociale.

:.

Le « vivre ensemble à travers nos âges » interroge sur le contrat social entre les générations.

Quel contrat social[xviii] aujourd’hui, entre l’effritement de la Famille-providence[xix] et la crise de l’Etat-providence[xx] ?

Cette journée d’étude vise à répondre à la question déjà posée par Alain Touraine : « Pourrons-nous vivre ensemble ? Egaux et différents » [xxi]. Elle s’applique dans les travaux qui nous réunissent aux différences d’âge, de génération et de période, sur des territoires de tradition familiale, d’exercices des solidarités et d’autres héritiers de différentes formes d’Etat-providence.

Dans les pays du « Sud » qui n’auront pas connu l’Etat-providence, la structure familiale évolue vers la famille nucléaire de façon beaucoup plus que dans les pays du « Nord », où la transition démographique a pu durer 3 ou 4 générations, ce qui aura permis d’entraîner moins de risque de rupture dans les relations affectives au sein des familles que ceux qui risquent de survenir dans les pays du « Sud ». En témoignent déjà les difficultés vécues dans de nombreuses familles immigrées issues de ces pays du « Sud » confrontées à la « culture familiale » ambiante de leur pays d’accueil[xxii].

L’Etat-providence n’avait-il pas, dans sa matrice, les germes de son éclatement et des difficultés d’une reconstruction d’une solidarité, en occupant tout l’espace de celle-ci[xxiii], empêchant alors l’émergence d’une société civile qui relierait les citoyens au bénéfice d’une solidarité entre eux[xxiv].

Une individualisation généralisée a accompagné l’Etat-providence, permettant à chacun de s’émanciper des cadres normatifs familiaux et de la communauté[xxv][xxvi]. N’avons-nous pas gommé la responsabilité individuelle, suscitant peut-être même de l’insécurité sociale[xxvii] ? Libéré de ses dépendances traditionnelles, l’individualisme ne s’est-il pas accru au point d’entraîner l’individu vers un repli égotique, l’empêchant d’être relié aux autres et de vivre ensemble avec ses alter egos, à commencer avec sa famille ? La démocratie ne jouerait-elle pas alors contre elle-même[xxviii] ?

Pour autant, faudrait-il aller vers un Etat social actif, obligeant une contrepartie immédiate du récipiendaire de la solidarité publique[xxix] (et non un processus de don/contredon à l’ensemble de la communauté, sur la base du principe « de chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins » [xxx][xxxi][xxxii][xxxiii]), voire vers une gestion managériale de celle-ci, avec obligation de résultats ? Au nom d’une équité qui remplacerait l’égalité… Qui pourrait permettre de passer, ni vu, ni connu, du libéralisme des idées au néolibéralisme de l’économie… Ne devrions-nous pas alors nous interroger sur l’héritage des principes de la Révolution française de 1789, à savoir « Liberté, égalité et fraternité », mais en partant de la fraternité, préalable à la liberté et à l’égalité, plutôt que de prononcer que la fraternité n’est là que pour réguler l’interaction entre la liberté et l’égalité ? N’est-ce pas parce que je reconnais fraternellement l’autre comme alter ego, c’est-à-dire différent de moi, que je pourrais décider librement qu’il soit à égalité mon frère ou ma sœur en humanité et que je pourrais alors me relier en fraternité avec lui ?

Une 3ème voie, entre l’Etat-providence et la Famille-providence, ne se situerait-elle pas entre la responsabilité individuelle et la responsabilité collective ? En affirmant que l’accompagnement de la personne en incapacité importante est d’abord de la responsabilité de sa famille, mais qu’il est de la responsabilité de la collectivité nationale (par subsidiarité) de soutenir cette famille dans sa mission et de la suppléer en cas de carence, voire d’absence de celle-ci[xxxiv].

Sinon, si rien ne change, si un nouveau contrat entre les générations n’est imaginé, tous ensemble, des formes variées de concurrence libres et donc faussées dès lors qu’elle s’exerce entre des individus inégalement pourvus par des héritages sociaux, culturels ou économiques, se renforceront. La libre concurrence non faussée pour les… riches et l’aide sociale réduite aux acquêts pour les… pauvres…, avec l’aide de mouvements cultuels et communautaristes…[xxxv]

:.

Pour avancer dans une réflexion sur un nouveau contrat social entre les générations[xxxvi], ne devrions-nous pas définir le « vivre ensemble à travers nos âges » ?

Pour ce faire, il est donc utile de creuser les théories de la psychologie, de la sociologie (des interventions publiques, du territoire, des organisations, de la culture, de la socialisation, etc.), des sciences politiques et de toute autre discipline qui pourrait nous aider à dé-construire le concept de contrat social pour mieux le comprendre et mieux l’appliquer.

L’analyse des 1ers cafés des âges[xxxvii] (lieux de débat citoyen sur l’allongement de la vie, véritables outils d’éducation populaire[xxxviii][xxxix], concept imaginé à partir de celui, belge, de « café géronto »[xl][xli]), réalisée en 2006[xlii][xliii], pointait le fait que de continuer de parler de « relations intergénérationnelles » risquait de renforcer le fossé entre les générations, en les stigmatisant et en les figeant les unes contre les autres. L’action intergénérationnelle la plus réussie n’est-elle pas celle où l’on n’a pas besoin de dire qu’elle est « intergénérationnelle » ?

L’association « Vieillir, c’est vivre ! »[xliv], lors de la Conférence interministérielle de la famille 2006, sur « La société intergénérationnelle au service de la famille », préconisait, au vue du bilan des 1ers cafés des âges, de parler plutôt de « vivre ensemble à travers nos âges »[xlv].

Aujourd’hui, afin de dépasser une approche empirique du « vivre ensemble à travers nos âges », voire de prolonger les mobilisations citoyennes dans plusieurs pays visant à repenser le contrat social entre les générations[xlvi][xlvii][xlviii], nous engageons une exploration scientifique sur cette notion du « vivre ensemble à travers nos âges », en privilégiant l’approche multiculturelle du vieillissement du fait des origines différentes des habitants des territoires locaux et nationaux, grâce à l’instauration d’un débat international avec les chercheurs de plusieurs pays.

:.

Que pourrait signifier exactement « vivre ensemble à travers nos âges » ?

De se poser cette question de façon scientifique devrait permettre plus facilement de dégager des préconisations, cette fois-ci, de chercheurs : quelles orientations et quelles méthodologies pour accroître ce « vivre ensemble à travers nos âges »… ? Comment éviter les éventuels effets pervers de toute action ?

Préprogramme de la journée d’étude du 24 janvier 2014 au 31 décembre 2013

8h30 : accueil des participants,

9h00 : mot d’accueil du président de l’Université du Havre et du directeur du laboratoire Cirtai,

9h15 : mot des partenaires,

9h30 : « Le vieillissement dans les pays du sud, intérêt social et théorique » : Daniel REGUER, sociologue, professeur de l’Université du Havre,

9h45 : « Genèse, objectifs du séminaire » :

o    Khadija QESMOUN, juriste, doctorante en droit et en sciences de l’éducation de l’Université de Rabat-Suissi,

o    et Jean-Michel CAUDRON, consultant en ingénierie gérontologique,

10h15 : « Théorie culturaliste, ethnologie et approche multiculturelle » :

o    « Regard sur le Maroc » : Abdallah SAAF, juriste, ancien ministre, responsable du Centre d’étude et de recherche en sciences sociales de l’Université Mohamed V d’Agdal-Rabat,

o    « Regard sur la France » : Laëtitia NGATCH-RIBERT, sociologue, chargée d’études au Pôle études et recherche de la Fondation Médéric Alzheimer,

10h 45 : débat avec les participants,

11h00 : pause-café,

11h15 : « Les vieux dans le territoire au Maroc » : Mohamed HADDY, juriste, professeur en droit public, Institut national d’aménagement et d’urbanisme du Maroc,

11h30 : « Existe-t-il vraiment un problème de vieillissement en France ? » : Jean-Louis SANCHEZ, expert en sciences sociales et politiques, délégué général de l’ODAS[xlix],

11h45 : « Les politiques publiques de vieillissement au Maroc » : Ahmed BOUJDAD, juriste, directeur de Sciences politiques de l’Université Mohamed V d’Agdal-Rabat,

12h00 : « Les politiques publiques de vieillissement en France » : Daniel REGUER,

12h15 : débat avec les participants,

13h00 : déjeuner à l’Université,

15h00 : « Société civile et le vieillissement au Maroc » : Khadija QESMOUN,

15h15 : « Société civile et le vieillissement en France » : Jean-Michel CAUDRON,

15h30 : « La famille et le vieillissement avancé des personnes âgées immigrées en France, vue de la France » :

o    Fatima MEZZOUJ, doctorante en sociologie, laboratoire Pacte[l] de l’Université Mendès-France de Grenoble,

o    Ali ABED, psychologue, agent de développement local d’intégration, Alfa 3A, Ain

16H00 : « La famille et le vieillissement avancé des personnes âgées immigrées en France, vue du Maroc » : Abdelhak SAAF, juriste, professeur de droit de l’Université Hassan II de Mohammedia-Casablanca, animateur du groupe de recherche en migration Centre d’étude et de recherche en sciences sociales de l’Université Mohamed V d’Agdal-Rabat,

16h15 : débat avec les participants,

17h15 : « Perspectives, en guise de conclusion ».

 

Bulletin d’inscription journée d’étude « Pourrons-nous vivre ensemble à travers nos âges et nos cultures ? Repenser le contrat social » du 24 janvier 2014, à l’Université du Havre

 

Je m’inscris à la journée d’étude :

nom :

prénom :

organisme :

adresse postale :

adresse électronique :

téléphone :

Je ne serai pas présent à la journée d’étude, mais je suis intéressé pour connaître les suites de celle-ci :

nom :

prénom :

organisme :

adresse postale :

adresse électronique :

téléphone :

Pour vous inscrire à la journée du 24 janvier 2014 à l’Université du Havre, veuillez renvoyer ce bulletin :

Par mail : jean-michel.caudron@orange.fr

Par courrier : 2 rue des Martyrs de la Résistance 76770 LE HOULME

Pour plus d’information, appelez le +33(0)6.80.96.25.69



[iii] Alors que le projet de « 5ème risque dépendance » du Président de la République n’a toujours pas vu le jour et était reporté en 2012, malgré une mobilisation générale par des débats régionaux et nationaux organisée par le gouvernement durant le 1er semestre 2011

[x] Juriste, ancienne chargée de service du droit des femmes du ministre des Marocains résidant à l’étranger, doctorante de l’Université des Sciences de l’Education de Rabat-Suissi, avec une thèse sur « La société civile et le développement humain », venue en France pour entamer (après un master de sociologie à l’Université du Havre) une thèse de sociologie et de sciences politiques sur « Pourrons vivre ensemble à travers nos âges ? Repensons le contrat social », en travaillant, entre autres sur la revalorisation du capital social (au sens anglo-saxon) de la génération la plus âgée

[xi] Centre interdisciplinaire de recherche sur les mobilités, IDEES CNRS

[xii] Centre d’étude et de recherches en sciences sociales

[xiii] Editions Fayard, 1997

[xiv] Temps réservé aux chercheurs invités

[xv] Temps ouvert aux enseignants et étudiants de l’Université du Havre, ainsi qu’à des acteurs de terrain

[xvi] Centre interdisciplinaire de recherche sur les mobilités

[xvii] Centre d’étude et de recherches en sciences sociales

[xviii] Jean-Jacques Rousseau, in « Du Contrat Social ou Principes du droit politique », 1762

[xix] Claudine Attias-Donfut, Nicole Lapierre, in « La famille providence. Trois générations en Guadeloupe », 1997

[xx] Pierre Rosanvallon, in « La crise de l’Etat-providence », 1981

[xxi] Editions Fayard, 1997

[xxii] Phénomène repéré dans de nombreuses études de besoin communales ou intercommunales menées en France depuis 1990 par Jean-Michel Caudron

[xxiii] Le contrat social vu par Thomas Hobbes, in « Léviathan, ou Traité de la matière, de la forme et du pouvoir d’une république ecclésiastique et civile », 1651

[xxiv] Joseph Yvon Thériault, in « La société civile est-elle démocratique ? », 1992

[xxv] Né d’un compromis, après la 2ème Guerre mondiale, entre la social-démocratie et la démocratie chrétienne, pour reconstruire l’Europe occidentale après la barbarie nazie

[xxvi] Le contrat social vu par John Locke, in « Traité du gouvernement civil », 1690

[xxvii] Robert Castel, in « L’insécurité sociale. qu’est-ce qu’être protégé ? », 2003

[xxviii] Marcel Gauchet, in la revue « Le Débat », de 1980 à 2000, et in « La démocratie contre elle-même », 2002

[xxix] Jérôme Pellissier, « Défaire méthodiquement le programme du Conseil National de la Résistance. L’objectif politique de Denis Kessler et de ses amis », in http://www.jerpel.fr/spip.php?article173, 2007

[xxx] « Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable. Elle doit être également répartie entre tous les Citoyens, en raison de leurs facultés », in la Déclaration française des droits de l’homme et du citoyen du 1er août 1789, reprise dans le préambule de la Constitution française du 4 octobre 1958

[xxxi] Louis Blanc, in « Plus de Girondins », 1851

[xxxii] Karl Marx, in « La critique du programme de Gotha », 1875

[xxxiii] Programme du Conseil national de la Résistance, du 15 mars 1944 : http://fr.wikisource.org/wiki/Programme_du_Conseil_national_de_la_R%C3%A9sistance

[xxxiv] Jean-Michel Caudron, « Les « personnes âgées » ne devraient-elles pas faire partie de la politique de la famille en France ? », in http://www.lamaisondelautonomie.com/politique-famille, 2012

[xxxv] Jean-Michel Caudron, « J’aurais 80 ans en 2011…. », in http://www.lamaisondelautonomie.com/80-ans-en-2011, 2011

[xxxvi] Jean-Michel Caudron, « 2013, Année européenne des citoyens : chiche, assumons ensemble cette citoyenneté dans un monde plus solidaire ! », in http://www.lamaisondelautonomie.com/annee-citoyenne-caudron-2013, 2013

[xxxvii] Concept conçu en 2004 par Paulette Guinchard, secrétaire d’Etat chargée des personnes âgées du Gouvernement Jospin, et Jean-Michel Caudron, avec plus de 1.200 cafés des âges organisés en France, plus de 100 au Québec, plus de 20 en Belgique, plus de 10 au Luxembourg

[xxxviii] Daniel Réguer et Jean-Michel Caudron : « Vieillir, c’est vivre ! Un indicateur d’un mouvement ? », in Gérontologie et Société, n°120, mars 2007, Fondation nationale de gérontologie, Paris

[xxxix] Jean-Michel Caudron : « Un « café » pour plus de solidarité : un côté « éducation populaire », in Lëtzebuerger Gemengen : actualité politique et économique luxembourgeoise, mars 2012

[xl] Concept conçu en 2004 par Jean-Michel Caudron, dans le cadre de la consultation publique en vue de l’avant-projet du Plan fédéral de développement durable 2005-2008de lasecrétaire d’Etatpour le développement durable et l’économie sociale Els Van Weert

[xli] Jean-Michel Caudron : « Les cafés géronto ou comment conjuguer la vieillesse au pluriel », in Tess, n°13, novembre 2004, La Lettre du Cadre Territorial, Voiron

[xlii] Professeur des universités (emploi N°0215), Université du Havre, chercheur au CIRTAI, UMR IDEES du CNRS

[xliii] Daniel Réguer, in « Analyse des comptes rendus de la première génération de cafés des âges », présenté au Conseil scientifique et au Comité d’animation de l’association « Vieillir, c’est vivre ! », le 2 février 2006

[xliv] Dont Jean-Michel Caudron est délégué général

[xlv] Rapport public de la Conférence interministérielle de la famille 2006 sur « La société intergénérationnelle au service de la famille », paru en 2006 à la Documentation française

[xlvi] « Vers un nouveau contrat social ! Ne faudrait-il pas passer de l’aide aux aidants à l’aide à l’« enfantalité » ? », in « Le plaidoyer : les proches aidants, une prise de conscience sociale qui tarde face à l’urgence d’agir. Un plaidoyer humaniste pour donner suite au Congrès international « Avec toi… Le proche aidant, un partenaire au cœur de l’action sanitaire et sociale », des13 au 15 septembre 2011, à Lausanne, Suisse, sous la présidence du Comité scientifique international » de Maître Martyne-Isabel Forest, avocate des droits des personnes âgées québécoise

[xlvii] Institut du Nouveau monde, in « Le Québec vieillit : une chance ou un problème ? Le bilan des cafés des âges : 1ère phase du Rendez-vous des générations »

[xlviii] Jean-Michel Caudron : « Les cafés des âges, pour la dynamique de l’Année européenne du Vieillissement actif et la Solidarité intergénérationnelle au Luxembourg », in Les cahiers de l’autonomie, avril 2012

[xlix] Observatoire national de l’action sociale décentralisée

[l] Politiques publiques, ACtion politique, TErritoires